mais la parure cachée de l’être intérieur : la beauté impérissable d’un esprit doux et paisible, à laquelle Dieu attache un grand prix. Car c’est ainsi que se paraient autrefois les saintes femmes qui plaçaient leur espérance en Dieu, et elles étaient soumises à leur mari.

Tel était, par exemple, le cas de Sara : dans son obéissance à Abraham, elle l’appelait : mon seigneur[a]. C’est d’elle que vous êtes les filles, si vous faites le bien sans vous laisser troubler par aucune crainte.

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Footnotes

  1. 3.6 Gn 18.12.