Si l’un de tes compatriotes tombe dans la pauvreté dans le pays que l’Eternel ton Dieu te donne, tu ne lui fermeras pas ton cœur et tu ne lui refuseras pas ton aide. Au contraire, tu lui ouvriras ta main toute grande et tu lui prêteras suffisamment selon ses besoins[a]. Garde-toi bien de nourrir dans ton cœur des pensées mesquines et de te dire : « C’est bientôt la septième année, l’année de la remise des dettes » et, pour cette raison, de regarder ton compatriote pauvre d’un mauvais œil sans rien lui donner. Car alors, il se plaindrait de toi à l’Eternel et tu porterais la responsabilité d’une faute.

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Footnotes

  1. 15.8 Voir Lv 25.35.