Un feu dévore devant lui
et la flamme consume |derrière lui.
Avant qu’il ne le foule, |le pays s’étendait |comme un jardin d’Eden[a],
mais après son passage |ce n’est plus qu’un désert |tout entier dévasté ;
non, rien ne lui échappe.
On dirait, à les voir, |des chevaux qui s’élancent ;
ils courent comme des chevaux d’attelage.
Les voilà qui bondissent
dans un fracas semblable |à celui de chars cahotant |au sommet des montagnes.
C’est le crépitement |d’une flamme de feu
qui dévore le chaume.
Et c’est comme un peuple puissant
en ordre de bataille.

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Footnotes

  1. 2.3 Voir Gn 2.8-9 ; Ez 36.35.