Pourtant, c’est moi |qui, pour ses premiers pas, |ai guidé Ephraïm,
en le soutenant par les bras[a],
mais il n’a pas voulu savoir |que moi, je prenais soin de lui.
C’est par des liens |d’une tendresse tout humaine
et des cordes d’amour |que je le conduisais,
et j’ai été pour lui |comme quelqu’un qui porte |un nourrisson
contre ses joues |pour lui tendre à manger[b].

Puisqu’ils ont refusé |de revenir à moi,
ils ne retourneront pas en Egypte,
ce sera l’Assyrie |qui régnera sur eux.

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Footnotes

  1. 11.3 L’ancienne version grecque a : et qui l’ai porté dans mes bras.
  2. 11.4 et j’ai été pour lui … à manger. Autre traduction : j’ai comme soulevé pour eux le mors du joug au-dessus des mâchoires pour leur tendre à manger.