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Mon cœur brûlait au fond de moi,

mes pensées étaient comme un feu brûlant,

et la parole est venue sur ma langue:

«Eternel, fais-moi connaître quand finira ma vie,

quel est le nombre de mes jours,

afin que je sache combien je suis peu de chose.

Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main,

et ma vie est comme un rien devant toi.»

Oui, même vigoureux, l’homme n’est qu’un souffle. Pause.

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