Voici : mes jours sont limités, |car tu leur as donné |la largeur d’une main.
Oui, devant toi, |la durée de ma vie |n’est vraiment presque rien,
même s’il est debout, |tout homme n’est qu’un souffle :
            Pause
il va, il vient, ce n’est qu’une ombre.
Son agitation, c’est du vent,
et les biens qu’il amasse, |sait-il qui les recueillera ?
Dès lors, Seigneur, que puis-je attendre ?
Mon espérance est toute en toi,

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