l’Eternel aime |la ville[a] de Sion
plus que tout autre lieu |du pays de Jacob.
O toi, cité de Dieu,
ce que l’on dit de toi |est tout chargé de gloire :
            Pause
« Parmi tous ceux qui me connaissent,
je ferai mention de Rahav, l’Egypte[b] |aussi bien que de Babylone,
j’inscris la Philistie, |et Tyr, et l’Ethiopie,
comme étant nés ici[c]. »

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Footnotes

  1. 87.2 En hébreu, il est question des portes de Sion, les portes représentant la ville tout entière.
  2. 87.4 Les peuples énumérés étaient les ennemis habituels d’Israël (Es 19.2) ; ils représentent l’ensemble des peuples païens. L’Egypte est ici appelée poétiquement Rahav, du nom d’un dragon des mers mythologique opposé au Créateur et associé à l’Egypte qui a opprimé les Israélites (cf. Es 30.7). D’autres textes présentent l’ouverture d’un passage dans la mer des Roseaux pour libérer les Israélites de l’esclavage en Egypte comme une victoire sur le dragon Rahav (Ps 89.11 ; Es 51.9).
  3. 87.4 C’est-à-dire à Sion. D’autres comprennent : comme étant nés là-bas (chez eux). Pourtant …