J’appelle à l’aide |au sujet de Moab :
ses fugitifs se sauvent |jusqu’à Tsoar,
jusqu’à Eglath-Shelishiya,
et ils gravissent en pleurant |la montée de Louhith.
Sur le chemin d’Horonaïm, |ils poussent des cris déchirants :
les eaux de Nimrim ont tari
et l’herbe est desséchée,
la végétation dépérit,
toute verdure a disparu[a].
Aussi emportent-ils |ce qu’ils ont pu sauver
et leurs objets précieux |au-delà du torrent des Saules.

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Footnotes

  1. 15.6 L’oasis de Nimrim, à une quinzaine de kilomètres au sud-est de la mer Morte.