C’est pourquoi moi, je pleure, |oui, je pleure, avec Yaezer, |les vignes de Sibma.
Je vous arrose de mes larmes, |Heshbôn, Elealé,
car sur votre moisson |et sur votre vendange,
les cris de joie se sont éteints.
10 La joie et l’allégresse |ont disparu dans les vergers,
et, dans les vignes, |il n’y a plus de cris de joie, |plus de réjouissances,
on ne presse plus le raisin |dans le pressoir.
Je fais cesser les cris de joie.
11 C’est pourquoi je frémis, |comme vibre une lyre, |en pensant à Moab,
mon cœur se serre |pour Qir-Harès.

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