Nous sommes tous semblables |à des êtres impurs,
toute notre « justice » |est comme des linges souillés.
Nous sommes tous flétris |comme un feuillage,
nos fautes nous emportent |comme le vent.
Personne ne t’invoque,
personne ne se ressaisit |pour s’attacher à toi.
Car tu t’es détourné de nous
et tu nous as fait défaillir
sous le poids de nos fautes.

Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père.
Nous, nous sommes l’argile,
et tu es le potier |qui nous a façonnés :
nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.

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