38 En somme, celui qui épouse la jeune fille fait bien, et celui qui ne l’épouse pas fera encore mieux[a].

39 Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari aussi longtemps qu’il vit ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien. 40 Toutefois, à mon avis, elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.

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Footnotes

  1. 7.38 L’interprétation de ces versets est difficile. Certains pensent que Paul traite de la responsabilité d’un père à l’égard de sa fille et proposent cette traduction : 36 Mais si quelqu’un juge manquer aux convenances envers sa fille parce qu’elle a passé l’âge et qu’il est de son devoir d’agir ainsi, qu’il fasse ce qu’il veut ; il ne commet pas de faute : qu’on se marie. 37 Si quelqu’un a pris en lui-même une ferme résolution, sans y être contraint, mais dans la pleine possession de sa volonté, si la décision qu’il a ainsi prise en lui-même est de garder sa fille, il fera bien. 38 En somme, celui qui marie sa fille fait bien, et celui qui ne la marie pas fera encore mieux.