Nous le savons, en effet : si notre demeure, cette tente que nous habitons sur la terre, vient à être détruite, nous avons au ciel une maison que Dieu nous a préparée, une habitation éternelle qui n’est pas l’œuvre de l’homme. Car, dans cette tente, nous gémissons parce que nous attendons, avec un ardent désir, de revêtir, par-dessus l’autre[a], notre domicile qui est de nature céleste[b] – si, bien sûr, cela se produit tant que nous sommes encore vêtus de notre corps, et non quand la mort nous en aura dépouillés.

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Footnotes

  1. 5.2 Autre traduction : de revêtir pleinement.
  2. 5.2 Dans tout ce passage, Paul passe constamment de l’image d’un habit à celle d’une habitation.