Les gardes m’ont trouvée, ╵ceux qui font le tour de la ville[a].
Je leur ai demandé : ╵Celui que mon cœur aime, ╵ne l’avez-vous pas vu ?
Les ayant dépassés,
peu après, j’ai trouvé ╵celui que mon cœur aime.
Je l’ai saisi bien fort, ╵et ne l’ai plus lâché
jusqu’à l’avoir conduit ╵au logis de ma mère,
dans la chambre de celle ╵qui m’a conçue.
O filles de Jérusalem, ╵oh, je vous en conjure
par les gazelles ╵ou par les biches ╵de la campagne :
n’éveillez pas, ╵non, ne réveillez pas l’amour
avant qu’il ne le veuille[b]. »

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Footnotes

  1. 3.3 Les gardes se tenaient la nuit près de la porte (Né 3.29 ; 11.19 ; 13.22) ou sur les remparts (5.7 ; 2 S 13.34 ; 18.24-27 ; 2 R 9.17-20 ; Ps 127.1 ; Es 52.8 ; 62.6). Sans doute patrouillaient-ils aussi dans la ville (5.7).
  2. 3.5 Voir 2.7 et note ; 8.4.