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Tes deux seins sont comme deux faons,
Comme les jumeaux d’une gazelle,
Qui paissent au milieu des lis.
Avant que le jour se rafraîchisse,
Et que les ombres fuient,
J’irai à la montagne de la myrrhe
Et à la colline de l’encens.
Tu es toute belle, mon amie,
Et il n’y a point en toi de défaut.

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