24 Il n’y a rien de bon pour l’homme, sinon manger, boire et se donner du bon temps au milieu de son dur labeur. Et j’ai constaté que cela même vient de la main de Dieu[a].

25 En effet, qui peut manger et profiter de la vie sans que cela vienne de lui[b] ?

26 Car Dieu donne à l’homme qui se comporte bien à ses yeux[c] la sagesse, la connaissance et la joie, mais il impose comme occupation à celui qui fait le mal le soin de recueillir et d’amasser pour celui qui se comporte bien à ses yeux.

Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.

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Footnotes

  1. 2.24 Voir 3.12-13 ; 5.18 ; 8.15 ; 9.7.
  2. 2.25 D’après l’ancienne version grecque. Le texte hébreu traditionnel a : sinon moi-même.
  3. 2.26 Autre traduction : qui lui est agréable.