Tout est pareil pour tous : un même sort atteint le juste et le méchant, celui qui est [bon et][a] pur, et celui qui est impur, celui qui offre des sacrifices et celui qui n’en offre pas, le bon comme le pécheur, et celui qui prête serment comme celui qui n’ose pas le faire. Parmi tout ce qui se passe sous le soleil, voilà bien un mal : c’est que tous les hommes connaissent un sort identique. Car à cause de cela, le cœur des humains est rempli de méchanceté et la déraison habite leur cœur tout au long de leur vie. C’est qu’après cela, on va rejoindre les morts !

Alors que doit-on choisir ? Pour tous les vivants, il y a de l’espoir. Un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort.

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Footnotes

  1. 9.2 Selon le texte hébreu traditionnel. L’ancienne version grecque, la version syriaque et la Vulgate ont : le bon et le méchant, celui qui est pur … Puisque le mot bon reparaît à la phrase suivante, il est probable qu’il a d’abord été ajouté par erreur ici dans le texte hébreu, et que les versions ont ensuite ajouté et le méchant pour compléter la paire.