Seulement Dieu sait bien que le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme Dieu, décidant vous-mêmes ce qui est bien ou mal[a].

Alors la femme vit que le fruit de l’arbre était bon à manger, agréable aux yeux, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence. Elle prit donc de son fruit et en mangea. Elle en donna aussi à son mari qui était avec elle, et il en mangea[b]. Alors les yeux de tous deux s’ouvrirent et ils se rendirent compte qu’ils étaient nus. Ils se firent donc des pagnes en cousant ensemble des feuilles de figuier.

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Footnotes

  1. 3.5 D’autres comprennent : connaissant le bien et le mal.
  2. 3.6 Allusion en 2 Co 11.3 ; 1 Tm 2.14.