Car le peuple qui m’appartient |est devenu pour moi |comme un lion de la forêt ;
il rugit contre moi ;
c’est pourquoi je l’ai pris en haine.
Eh quoi ! le peuple |qui m’appartient |est-il donc devenu pour moi |comme un rapace |aux couleurs bigarrées[a]
pour que, de toutes parts, |les autres rapaces l’entourent ?

Allez et rassemblez |les animaux sauvages !
Qu’on les fasse venir |pour le festin !
10 Oui, de nombreux bergers[b] |ont saccagé ma vigne
et foulé mon domaine,
et ils ont transformé |mon domaine plaisant
en un désert aride !

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Footnotes

  1. 12.9 Les oiseaux de proie s’attaquent, paraît-il, à ceux qui ont un plumage plus éclatant que le leur.
  2. 12.10 Voir 6.3ss Les bergers sont les chefs ennemis.