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Je les vanne avec le vent aux portes du pays;
Je prive d’enfants, je fais périr mon peuple,
Qui ne s’est pas détourné de ses voies.
Ses veuves sont plus nombreuses que les grains de sable de la mer;
J’amène sur eux, sur la mère du jeune homme,
Le dévastateur en plein midi;
Je fais soudain tomber sur elle l’angoisse et la terreur.
Celle qui avait enfanté sept fils est désolée,
Elle rend l’âme;
Son soleil se couche quand il est encore jour;
Elle est confuse, couverte de honte.
Ceux qui restent, je les livre à l’épée devant leurs ennemis,
Dit l’Eternel.

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