Tels des ânes sauvages ╵vivant dans le désert,
les malheureux s’en vont ╵dès l’aube à leur travail, ╵cherchant leur nourriture.
La steppe doit fournir ╵du pain pour leurs enfants,
ils doivent moissonner ╵le fourrage des champs
et grappiller ╵les vignes du méchant.
Ils se couchent tout nus, ╵faute de vêtement,
sans rien pour se couvrir, ╵quand il fait froid.

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