Add parallel Print Page Options

Elles seraient plus pesantes que le sable de la mer;
Voilà pourquoi mes paroles vont jusqu’à la folie!
Car les flèches du Tout-Puissant m’ont percé,
Et mon âme en suce le venin;
Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
L’âne sauvage crie-t-il auprès de l’herbe tendre?
Le bœuf mugit-il auprès de son fourrage?

Read full chapter

assurément mon malheur ╵est plus pesant ╵que le sable des mers,
c’est pourquoi mes paroles ╵dépassent la mesure.
Car les flèches du Tout-Puissant ╵sont plantées dans mon être
et mon esprit boit leur poison[a],
oui, je suis assailli ╵par les terreurs que Dieu m’envoie.
Un âne se met-il à braire ╵pendant qu’il broute l’herbe tendre ?
Un bœuf se met-il à mugir ╵quand il est devant son fourrage ?

Read full chapter

Footnotes

  1. 6.4 Allusion à des flèches empoisonnées, utilisées fréquemment autrefois, et à une troupe d’assaillants.