Mon corps est couvert de vermine |et de croûtes terreuses,
ma peau s’est crevassée, |partout, mes plaies suppurent.
Mes jours se sont enfuis |plus rapides que la navette |d’un tisserand habile.
Ils tirent à leur fin |sans qu’il y ait d’espoir.

Rappelle-toi, ô Dieu, |que ma vie n’est qu’un souffle
et que jamais mes yeux |ne reverront plus le bonheur.

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