Le maître leur en envoya un troisième, et celui-là, ils le tuèrent ; puis beaucoup d’autres, et ils battirent les uns et tuèrent les autres.

Il ne lui restait plus, désormais, qu’une seule personne à envoyer : son fils bien-aimé. Il le leur envoya en dernier. Il se disait : « Pour mon fils au moins, ils auront du respect. » Mais les vignerons se dirent entre eux : « Voilà l’héritier ! Venez ! Tuons-le ! Et l’héritage sera à nous ! »

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