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En réalité, notre chair est pareille à celle de nos frères, nos enfants sont pareils aux leurs, et pourtant, nous devons vendre nos fils et nos filles comme esclaves – plusieurs de nos filles le sont déjà – et nous sommes sans ressources puisque nos champs et nos vignes sont devenus la propriété d’autrui.»

J’ai été très irrité en prenant connaissance de leurs plaintes et de ces faits, et j’ai pris la ferme décision d’adresser des reproches aux nobles et aux magistrats. Je leur ai dit: «Vous prêtez à intérêt à vos frères!» J’ai convoqué une grande assemblée pour traiter leur situation

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