Car mille ans, à tes yeux,
sont comme le jour d’hier |qui est déjà passé[a],
comme une seule veille |au milieu de la nuit.
Tu les plonges dans le sommeil,
et ils sont au matin |comme l’herbe éphémère
qui fleurit le matin, |et passe vite :
le soir, elle se fane |et se flétrit.

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Footnotes

  1. 90.4 Cité en 2 P 3.8.