Le respect des frères et sœurs en la foi

14 Accueillez celui qui est mal affermi dans la foi, sans contester sans cesse ses opinions[a]. Ainsi la foi de l’un le conduit à manger de tout. L’autre, qui est mal affermi dans la foi, ne mange que des légumes. Que celui qui mange de tout ne méprise pas celui qui ne fait pas comme lui, et que celui qui ne mange pas de viande ne condamne pas celui qui en mange, car Dieu lui a fait bon accueil. Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.

Pour celui-ci, tel jour a plus d’importance qu’un autre[b] ; pour celui-là, ils sont tous égaux : à chacun d’avoir une pleine conviction en lui-même.

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Footnotes

  1. 14.1 Autre traduction : sans discuter sans cesse de ses opinions.
  2. 14.5 Il s’agissait sans doute de chrétiens d’origine juive qui continuaient à respecter le sabbat et les jours de fêtes cultuelles instituées par la Loi mosaïque.