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Ceux qui les achètent les égorgent impunément, et celui qui les vend dit: ‘Béni soit l'Eternel, car je m'enrichis!’ Leurs propres bergers n’ont pas pitié d’elles. Non, je n’aurai plus pitié des habitants du pays, déclare l'Eternel. En effet, je livre les hommes aux mains les uns des autres et aux mains de leur roi; ils dévasteront le pays, et je ne délivrerai personne de leurs mains.»

Alors je me suis mis à prendre soin des brebis destinées à l'abattoir, certainement les plus misérables du troupeau. J’ai pris deux houlettes. J'ai appelé l'une Grâce et l'autre Union, et j’ai pris soin des brebis.

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