– Par conscience, j’entends, évidemment, non la vôtre, mais la sienne. – Pourquoi, en effet, exposerais-je ma liberté à être condamnée du fait qu’un autre a des scrupules de conscience ?
Je parle ici non de votre conscience, mais de celle de l'autre personne. Pourquoi, en effet, ma liberté serait-elle jugée par une conscience étrangère?