Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, puis elle se leva au petit jour avant que l’on puisse se reconnaître, car Booz avait dit : Il ne faut pas que l’on sache qu’une femme est venue sur l’aire.
Elle resta couchée à ses pieds jusqu'au matin, et elle se leva avant qu'on pût se reconnaître l'un l'autre. Boaz dit: Qu'on ne sache pas qu'une femme est entrée dans l'aire.
Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on puisse se reconnaître l’un l’autre. Boaz dit: Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire.
Elle resta couchée à ses pieds jusqu'au matin et se leva avant qu'on puisse se reconnaître l'un l'autre. Boaz dit: «Qu'on ne sache pas que cette femme est entrée dans l'aire de battage.»